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Adalia | It's a strange world to live in

 :: Pas de quartiers :: Cimetière :: V.2 :: Fiches refusées Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Mar 21 Avr - 12:53
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NOM: Reyes . PRENOM(S): Adalia Paciencia . ÂGE: 27 ans LIEU DE NAISSANCE: La Havane - Cuba ETAT CIVIL: Célibataire GROUPE: Drapeau Blanc AVATAR: Freida Pinto

Adalia Paciencia Reyes

Cultivée | D'aucun pourrait penser qu'avec son joli minois, Adalia aurait la tête vide, mais il n'en est rien. La jeune femme ne prétend pas tout connaître, mais elle sait lire et écrire ce qui est déjà une grande qualité. Que personne n'espère lui faire gober des sornettes ou essayer de l'amadouer en la prenant pour une femelle sans cervelle, ce ne sont pas des choses qui fonctionnent avec elle. La jeune femme en sait largement sur le monde dans lequel elle vit pour s'imposer comme une femme forte qu'on ne peut pas berner facilement.
Honnête | Par les temps qui courent, on ne sait pas si c'est une qualité ou un défaut, mais Adalia s'estime être une personne de confiance. Ce n'est pas dans sa nature de corrompre ou bien de tromper les gens. Après tout, ceux qui viennent la voir s'attendent à des réponses qui peuvent leur apporter de l'espoir, ou du réconfort et la jeune femme n'aurait le coeur à leur mentir. Il en va de même pour la rémunération, elle n'en demande ni trop ni pas assez. Son honnêteté est en quelque sorte sa ligne de conduite.
Intuitive | Adalia fait toujours confiance à son intuition, qui ne la trompe jamais. Elle s'en sert surtout envers les gens qu'elle rencontre, pour déterminer si elle peut leur accorder un minimum sa confiance ou au contraire, si on essaye de se jouer d'elle. La première intuition est toujours la bonne comme on dit et la brune ne s'écarte pas de cette voie, qui parfois s'avère ne pas être la bonne. Dans ces cas-là, elle en accepte les conséquences qui en découlent.
Passionnée | La cubaine est une amoureuse folle de la vie. Tout ce qu'elle fait, elle le fait avec entrain et envie et cela se ressent dans ses paroles. Elle peut partir dans une tirade horriblement longue quand un sujet la passionne et la fait bouillonner, s'aidant de grands gestes pour exprimer les pensées qui se bousculent dans sa tête.
Souriante | Cela peut paraître banal, mais Adalia met un point d'honneur à toujours paraître sous son meilleur jour. Bien sûr, son sourire n'est pas toujours sincère mais il peut s'avérer être une arme très précieuse dans certains cas. Il n'est pas courant de voir Adalia sans un sourire accroché aux lèvres, c'est comme ça qu'elle exprime sa joie de vivre et sa reconnaissance.
Lunatique | Quelle femme ne l'est pas, hein franchement ? Adalia l'est sûrement plus que la moyenne, cependant. La moindre petite contrariété peut la faire changer d'humeur en un rien de temps - comme par exemple se cogner le pied contre le pied de la table, là où ça fait bien mal pendant au moins 5 bonnes minutes. Si un événement négatif sait la rendre bougonne et exécrable, l'inverse est tout aussi vrai. Il lui suffit d'une bonne nouvelle ou d'un rayon de soleil sur son visage pour qu'elle retrouve le sourire.
Colérique | S'il y a bien une chose à ne pas faire, c'est provoquer la colère d'Adalia. Il n'est pourtant pas aisé de la faire sortir de ses gonds et un grand gouffre sépare sa nature irritable de sa nature coléreuse. Son honneur, son passé, son don, sont autant de sujets sur lesquels il ne faut pas froisser la jeune femme - au risque de voir quelques objets vous voler à la figure. Bien que ses colères ne durent pas bien longtemps, elles n'en sont pas pour le moins intenses, Adalia pouvant se transformer en véritable furie.
Maladroite | La jeune femme est sans conteste une catastrophe ambulante. elle brise littéralement tout ce qu'elle tient dans les mains. Elle se cogne à toutes les embrasures de porte, se coince les cheveux dans les buissons, tombe dans le sable la bouche grande ouverte, bref Adalia est du genre à s'ouvrir la main avec un couteau à beurre. C'est à se demander si elle n'est pas maudite tellement sa maladresse lui rend la vie presque impossible.  
Inattentive | Ce n'est pas parce qu'elle s'en fiche mais... enfin si, c'est parce qu'elle s'en fiche en fait, mais en plus de ça, Adalia n'est pas une femme très à l'écoute. Toujours dans la lune - en grande partie à cause des plantes hallucinogènes qu'elle mâche de temps à autre - elle ne fait pas vraiment attention à ce qu'il se passe autour d'elle et est encore moins réceptive lorsqu'on lui parle. Bien entendu, lorsque la situation exige du sérieux de sa part, son côté tête en l'air s'estompe rapidement - pour mieux revenir par la suite.
Misandre | Dans la cabane au fond du jardin où vit Adalia, la solitude est certainement ce qui lui plait le mieux. Etre à l'écart des hommes, voilà qui lui convient parfaitement. Avec le temps, elle a appris à se méfier voire à mépriser la gent masculine, ce au plus haut point. a ses yeux, ce ne sont que des êtres égoïstes et assoiffés de pouvoir, qui ne mérite pas la compagnie des femmes. Ayant grandie sans père et ayant très jeune appris à se débrouiller sans l'aide des hommes, Adalia ne voit aucun intérêt pour elle à s'attirer leur faveur. Pour elle, ce ne sont que des rats d'égout lubriques et bruyants et ce n'est pas demain la veille que l'un d'eux trouvera grâce à ses yeux.

Si un jour tu te retrouves devant un gars en train de se faire agresser par deux hommes, que fais-tu? Adalia passerait son chemin sans se poser de questions. Les conflits des hommes ne la concernent en rien et ce n'est pas demain la veille qu'elle risquerait sa peau pour un inconnu. Ce n'est pas souvent qu'elle se retrouve confrontée à ce genre de situation mais quoiqu'il en soit, elle s'en fiche éperdument - après tout, cet homme a peut-être mérité son sort, qui sait ?
As-tu déjà tué? Excepté les animaux, Adalia n'a jamais tué personne et espère n'avoir jamais à la faire. Le seul sang qu'elle a sur les mains, c'est celui du gibier qu'elle trouve non loin du lieu où elle habite et c'est uniquement pour se nourrir. Avec le temps, Adalia est devenue assez bonne à la chasse, qu'elle pratique discrètement et sans excès et surtout avec un grand respect de l'animal (même s'il y a souvent des échecs cuisants).
Crois-tu aux créatures surnaturelles? La jeune femme ne croit qu'en la grande déesse Calypso, redoutée et indomptable. C'est d'elle que dépend le destin des hommes tout autant que le sien. Aux yeux de la cubaine, les hommes qui ne croient pas en cette déesse sont des fous voués à leur perte. Aux yeux d'Adalia, il n'y a rien de plus réel que le caractère à la fois salvateur et meurtrier de la mer.

PSEUDO: Phèdre. ÂGE: 22 ans. COMMENT AS-TU TROUVE LE FORUM? Via une demande de partenariat sur un autre forum. DERNIER MOT?Big Love  :4:

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Invité
Mar 21 Avr - 12:53
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On ne peut pas dire que ma vie ait toujours été un long fleuve tranquille, mais je n’ai pas vraiment à me plaindre. J’ai toujours été persuadée qu’il y avait une force qui guidait nos actes et nos pensées, quelque chose de bien trop violent pour être contenu. Et qui parfois pouvait s’avérer être une véritable garce, mais ça, c’est pour les mauvais jours.

Je suis née un 26 mars 1644 parait-il, dans un quartier pauvre de La Havane. Je n’ai jamais connu mon père et je dois avouer que ça ne m’attriste pas plus que cela. Il paraît que c’était un marchand espagnol de passage, rien de plus. Je ne comprends pas pourquoi on m’a affublé de son patronyme si ce n’était qu’un homme d’une nuit. Enfin, je ne me suis jamais posé plus de questions à son sujet, mon intérêt étant assez limité. Ma mère prétend descendre de la tribu des indiens Taïnos, qui peuplaient l’île avant l’arrivée des colons. C’est vrai qu’elle est typée, avec ce teint basané dont j’ai hérité. Mon sentiment est plutôt qu’elle a toujours fait partie d’une famille de paysan mais qu’elle est bien trop fière pour l’avouer. Comme toutes les filles nées dans un milieu plutôt défavorisé, j’ai eu à pâtir de ma basse extraction. Mais ce n’est pas pour ça que je n’ai pas eu une enfance relativement heureuse. La vie était dure, bien sûr mais au moins, je ne subissais pas le sort réservé aux esclaves. Je ne mangeais pas vraiment à ma faim et plus je grandissais plus je devais subir le regard lubrique et les paroles déplacées des hommes. Pourtant, je n’étais pas la plus jolie jeune fille qui soit. Mon nez légèrement empâté était à mes yeux comme une immonde cicatrice me barrant le visage, même si aujourd’hui cette impression s’est atténuée. Quoiqu’il en soit, une fois que j’ai eu 15 ans, je fus recrutée comme serveuse dans une des tavernes de la Havane, non loin du fort. Le travail était pénible et je devais prendre sur moi et subir en silence les attouchements de certains marins ivres morts (alors que j’avais bien envie de leur enfoncer leur godet dans un endroit inapproprié de leur anatomie, mais passons).

J’ai toujours été d’une nature un peu solitaire et pas franchement incline à aller vers les autres. Dans mes rares moments de temps libre, je m’isolais souvent à l’orée des bois et cela dès mon plus jeune âge. Aujourd’hui je le sais, mais à l’époque j’étais sujette à des maux de tête terrible et je parlais souvent à des gens d’aspect étrange que je voyais devant moi. Ma mère me battait quelque fois pour que je cesse de « parler seule » qu’elle disait. Les gens de la ville murmuraient dans mon dos et me traitait de sorcière. Je ne voyais pas quel mal je pouvais faire.

Lorsque j’ai atteint l’âge de 20 ans, j’avais l’impression d’avoir fait le tour de ma vie. J’avais compris très récemment que je pouvais communiquer avec les morts et que ce don, peu de gens pouvaient le comprendre, aussi dissimulais-je ma vrai personnalité. J’avais renié depuis longtemps ce Dieu que ma mère ne cessait de prier. Les épreuves que j’avais déjà vécues m’avaient prouvé qu’une telle chose n’existe pas. J’avais quitté l’ombre des arbres pour épancher ma solitude face à la mer. Je pouvais passer de nombreuses heures à scruter l’horizon, à voir les marins aller et venir sur les docks (où le poids et l’ennui me courbent le dos). Certains parlaient de Calypso, la cruelle déesse de la mer et la réalité me frappa soudainement. Dans ce « nouveau monde » où tant de vies dépendaient de la mer, c’était bien elle qui régnait.

Je ne sais comment, mais certaines personnes avaient eu vent de ma qualité de médium. Ils venaient me voir en secret, pour que je communique avec leur conjoint défunt ou bien leur enfant disparu. Même s’il n’était pas rare que j’y parvienne sans aucun artifice, la jusquiame noire et ses propriétés hallucinogènes me permettaient d’entrer plus facilement en contact avec les morts, en plus d’offrir un spectacle peu commun aux visiteurs (pour faire court : ça en jette un max). Un soir particulièrement animé à la taverne, ma chance a été de tomber sur une conversation qui allait bouleverser ma vie (et pas qu’un peu mon neveu). Des hommes dont le statut de forbans n’était pas inconnu parlaient d’une « prêtresse » capable de lire l’avenir. Je su alors tirer profit de ma maladresse notoire pour renverser les chopes sur le sol et profiter de cette excuse pour espionner un peu plus leur conversation.

Dès le lendemain, je me mis en quête de cette « prêtresse », arpentant la jungle sans relâche. Au bout de quelques mois, je faillis rendre mon tablier, à bout de force et désespérée. Mais ne sachant pourquoi, je ne pouvais me résoudre à abandonner et à force de persévérance, je finis par trouver l’une d’entre elle. Et elle fut bien différente de la femme que je m’étais imaginée. Au lieu d’une belle brune exotique et mystérieuse (comme moi quoi o/), c’était une femme en haillons, courbée par le poids des ans. Mais je ne m’arrêtai pas à ce préjugé sordide et avec toute la détermination dont j’étais capable, je demandai à être initiée. La prêtresse me guida alors dans les montagnes, afin que je puisse prouver que j’étais l’une des leurs. Cela me terrifiait, la peur d’échouer me prenait au ventre et me donnait la nausée. Mais ma détermination était plus forte. Bien entendu, je devais apporter une preuve de mon don à cette communauté. J’avais choisi sciemment de ne pas utiliser d’artifice, car j’étais sûre de moi. Depuis quelques temps, j’entendais des cris d’enfants résonner dans ma tête, aussi avais-je décidé de me servir de cela. Au bout de quelques minutes d’angoisse, les prêtresses avaient décrétées que je pouvais être apte à faire partie de leur confrérie.

Elles me demandèrent alors ma plus grande peur et je ne savais quoi répondre. « Des guêpes » avais-je répondu par défaut, mais ce n’était pas totalement un mensonge. J’avais bien sûr peur de la déesse Calypso, une peur rationnelle et respectueuse. Et je pense que toute avait cette même peur. Pendant une journée entière, je dû combattre l’angoisse d’être attachée à un poteau de bois, le corps enveloppé de milliers de guêpe dont le venin pourrait me tuer si elles me piquaient toutes ensemble, si jamais je faisais le moindre mouvement. Cette torture sembla durer des jours et à chaque piqûre, la douleur me faisait monter les larmes aux yeux. Je priais la déesse de m’aider dans cette épreuve, sans grande conviction que mon sort lui soit d’un réel intérêt.

Le lendemain, une des vieilles prêtresses me tendit une dague et j’en compris immédiatement la signification. Relevant mon jupon jusqu’à ma hanche, je me mis à verser des larmes, la mâchoire serrée, tandis que je lacérais ma cuisse, convaincue que j’arrivais au bout de l’épreuve. Les deux semaines suivantes furent âpres, et outre les fruits et les baies pour me nourrir, j’ai bien cru mourir de faim, seule et au bord du gouffre. J’ai vite appris à ravaler mes larmes et à me servir de ma fierté et de mon honneur pour vaincre ce dernier test. Le jour du jugement final, j’ai bien cru que cela allait être mon dernier. C’est fichu, j’ai échoué, adieu monde cruel, si jeune et si belle.

Mais il n’en fut rien et voilà 7 ans que je suis rentrée dans la confrérie et ma vie n’a jamais été aussi délicieuse. A l’écart de la foule, dans un abri que j’ai moi-même confectionné, à mi-chemin entre mer et jungle, je recevais les pauvres âmes en détresses ainsi que de nombreux pirates qui cherchaient mon aide. Mon tatouage en forme de croissant de lune judicieusement placé sur ma nuque prouvait mon appartenance légitime à ce cercle très fermé.

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Mar 21 Avr - 13:11
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Bienvenue en Caraïbes Adalia =D ! Très joli prénom et superbe avatar !

Bon courage pour l'écriture de ta fiche et n'hésite pas à poser tes questions si tu en as :67:
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Faye M. Read
Mar 21 Avr - 13:31
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Avatar : Phoebe Tonkin
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Freida Pinto, cette femme est juste ... WOW :17:

Bienvenue, bonne chance pour la suite de ta fiche !
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Mar 21 Avr - 13:39
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Que vois-je, une jeune et jolie demoiselle exotique :23:
Bienvenue et courage pour ta fiche :17: :22: :70:
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Mar 21 Avr - 13:41
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Merci beaucoup tout le monde :4: :4:
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Mar 21 Avr - 13:53
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Bienvenue !!!

Bonne chance pour ta fiche !
Superbe avatar je confirme !
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Mar 21 Avr - 20:52
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Merci Owen :4:
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Faye M. Read
Mar 21 Avr - 21:09
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Administratrice pirate
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Avatar : Phoebe Tonkin
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Bienvenue!

Wow quel personnage, je suis sous le charme! J'adore la façon dont est écrite la fin, et en particulier le moment où tu décris comment à vécut le rituel d'initiation d'Aladin ! Puis son caractère ...  :33:
Tu intègres le Drapeau blanc.
Tu vas maintenant pouvoir recenser son avatar dans le bottin !
A partir de maintenant tu vas aussi pouvoir te créer un cercle social et commencer ton histoire en créant ta fiche de liens (les rps seront dans le même post).
Tu vas aussi devoir demander ton rang à cet endroit! La description de chaque rang disponible est rédigée dans ce sujet. Tu dois aussi choisir ton équipage. C'est important pour ton personnage!
Si tu es amené à être absent(e), tu pourras nous prévenir en postant un sujet dans cette partie.
Bon jeu !

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Mar 21 Avr - 21:14
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Merci beaucouuuuup :51:
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Mar 21 Avr - 21:24
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Bienvenue parmi nous ^^

J'espère que tu te plairas sur le forum :67:
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