ET UNE BOUTEILLE DE RHUM
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[Flashback] Une nuit Mouvementée (Harlow)

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Lun 6 Juil - 0:35
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James & Harlow

Une nuit mouvementée


Port-Royal ! Une ville comme les gens de la haute l’aime. J’en pouvais plus de cette manière de vivre ! Restez polis et courtois, toujours obéir aux ordres ! Mais milles sabord ! Ce n’était points une vie ça ! Mais je restais. Avais-je peur de repartir à l’aventure ? Je ne savais pas moi-même. Dans quelques semaines, c’était l’anniversaire de ma sœur. Ma sœur. L’une des raisons que j’étais resté corsaire encore cette année, bien que j’avais reçu la liberté totale de mes actions. Comment faire ? Je ne savais pas vraiment.

Je profitais d’un instant de liberté pour aller à la taverne où je pouvais me libérer de mes charges de corsaire. Par moment je rencontrais des pirates qui me reconnaissaient. Soit ils me saluaient sans savoir que j’étais corsaire, soit ils me gueulaient dessus pour avoir renié mes origines pirates. Je repensais au bon vieux temps quand il n’y avait que moi et la mer. On me connaissait sous le nom du Capitaine Red Flash, le capitaine qui était trop humain à ce qui paraît, mais extrêmement dangereux à cause de ma rapidité du sang versé quand je combattais et qu’il n’y avait aucune issue. Maintenant il me fallait faire avec la couronne. Je n’arrêtais pas d’enchaîner les verres de rhum. J’étais à combien quatre, cinq ? Voir peut-être même sept ! Une chose était sur je buvais bien, mais je tenais toujours bien l’alcool. Ce fut au bout d’un moment que je remarquais une jeune femme rousse, très belle qui était à une table. Lorsque je la regardais je pu la détaillais avec aisance, une chemise ample, mais on pouvait aisément voir le début de ses seins si on savait se pencher. En tout cas elle buvait beaucoup et l’homme en face d’elle semblait vouloir bien profiter de la situation. Il n’était pas très beau et semblait bien saoul. Il parlait fort et ne voulait pas lâcher le morceau. Je me redressais et demandais deux chopes de rhum au tavernier.

Je me dirigeais par la suite vers la table et une fois à moins de deux mètres, je vis l’homme sortir un coutelas tout en prenant la femme par le bras. Je posais rapidement mes deux chopes pour intervenir lorsque la femme décocha un magnifique direct du gauche sur son agresseur qui recula de quelques pas. Il était à ma hauteur et d’un réflexe j’attrapais mon pistolet à mousquet et je lui pointais l’arme chargé sur la tempe avant de lui dire d’une voix menaçante :

- Se servir d'une arme contre une femme n'est pas galant. Alors t’as intérêt à déguerpir vile cloporte ou j’explose ta gueule de chien galeux dans trois secondes. A toi de choisir.

L’homme tourna la tête et voyant mon regard et l’arme qui était pointé sur lui préféra partir à grandes enjambées en dehors de la taverne. Je décidais de tendre l’une des chopes à la jeune rousse avant de lui dire :

- Je pense que ce cloporte ne vous ennuiera plus. Puis-je me joindre à vous somptueuse créature aux cheveux rouges ? Je m’appelle James et vous ?

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Lun 6 Juil - 19:47
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Harlow jeta un regard autour d’elle. Elle venait de quitter la maison de ces parents après leur avoir passé un peu d’argent. C’est à peu près tout ce qu’elle faisait quand elle rentrait à Port Royal. Une fois l’argent qu’elle avait accumulé dans les pillages et les abordages forcé dans les mains de sa mère qui rechignait toujours un peu avant de le prendre, Harlow disparaissait. Elle n’avait rien à reprocher à ces parents, mais ce toit si bas, ces meubles vieux de quinze ans… Tout lui donnait l’impression d’être pris à la gorge et de ne plus pouvoir respirer. Elle revoyait encore le fils du boucher, ou de n’importe lequel autre que sa mère lui présentait en lui parlant de petits enfants et d’une vie qui ne dépasserait pas ces ruelles aux maisons basses et à la pauvreté grandissante.

Elle pris une grande inspiration en s’enfonçant dans les rues les plus mal famées de la belle cité avec la plus grande hâte de reprendre la mer. Seulement, elle venait d’abandonner son dernier bâtiment et devait se retrouver. Cela lui prendrait bien une semaine avant qu’elle puisse quitter l’île, sans avoir à s’engager comme sous-matelot ou putain attitrée d’un navire. Quelle plaie. Il lui fallait du rhum, ou quelque chose de fort en tout cas.
Instinctivement, c’est vers la taverne où elle avait rencontré son premier capitaine qu’elle se dirigea. L’odeur d’alcool et de tabac la pris à la gorge lorsqu’elle y pénétra, pour son plus grand plaisir après avoir subi les désagréments des rues. La pirate se laissa choir à une table et commanda une bouteille de rhum qu’elle commença à descendre goulûment. Rien de mieux pour régler les problèmes, ou en tout cas pour les oublier un moment. Elle commençait justement à apprécier le relatif calme dont elle bénéficiait dans la taverne et à laisser aller les muscles de ses épaules, quand un ivrogne pris une place à côté d’elle.

« Combien ? » grogna-t-il en articulant difficilement.
« Pas à vendre, dégage » répondit la rousse avec un sourire las.

Harlow n’avait rien contre les prostituées. Il fallait de tout pour faire un monde, et surtout des filles qui en avaient assez pour choisir de faire ce métier. Qu’on la prenne pour une prostituée ne l’insultait pas outre mesure. Qu’on refuse d’écouter son refus, c’était autre chose. Ce type avait déjà perdu sa bataille. Parce qu’elle avait très envie de s’envoyer en l’air, mais avec quelqu’un qui ne la respectait pas, jamais. Et elle ne parlait même pas de sa tête de vérolé. Pouvait toujours crever celui-là.
Elle laissa l’idiot débiter la litanie habituelle censée la persuader avant de lui rentrer dedans. Comme elle ne réagissait pas et continuer de descendre sa bouteille, il sortit un couteau pour la menacer. Classique. Harlow haussa à peine un sourcil lorsqu’il la pris par le bras pour la secouer. S’il croyait qu’elle était nouvelle à ça, il se mettait le doigt dans l’œil. De son bras libre, elle lui décrocha un coup de poing.
De sa main libérée, elle sortie un poignard de sa ceinture et le brandit lorsqu’elle se rendit compte que son agresseur avait déjà été pris en charge par un inconnu. Un homme de son âge à peu près, qui présentait bien. Trop bien pour la taverne dans laquelle il se trouvait. Cela le rendait suspect, mais il n’était pas désagréable à regarder. Et puis il avait dit « somptueuse créature », ça c’était parlé. Elle en aurait poussé un soupire de vierge courtisée.
Harlow glissa son poignard dans son fourreau avant de prendre le verre, et de répondre avec son sourire le plus doux :

« Harlow. Merci pour le coup de main, j’ai l’habitude de ce genre de vermine, mais c’est toujours agréable d’avoir un coup de main. Vous n’êtes pas d’ici , n’est-ce pas ? »

Elle le regarda de haut en bas.

« Je veux dire…d’ici, ajouta-t-elle en embrasant du regard la taverne, les pilliers de bar, les prostituées, les pirates, les marchands d’esclaves au marché noir. Ça se voit. Qu’est-ce que vous venez parmis nous, la peste de Port Royal ? »
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Mer 8 Juil - 14:01
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James & Harlow

Une nuit mouvementée


La belle rousse ignorait totalement le vieux qui essayait tant bien que mal de réussir à faire son affaire avec elle. Mais la patience de la rouquine risquait d’être mise à rude épreuve. Rien que par le fait qu’il sorte une arme pour la forcer de le suivre. J’étais contre la violence gratuite et surtout l’injustice. Je m’étais vite rapproché et j’aperçu qu’elle ne devait pas être à son premier coup d’essaie, car elle lui asséna un magnifique coup dans sa gueule de chien et dès que son bras fut délivré elle sortie un poignard. Mais j’avais déjà agis et j’avais mon pistolet de sortie près à faire feu dans sa tête de mécréant. Comment avoir de l’estime pour ce genre de personne ? Ce n’était pas l’envie qui me démanger de lui exploser la cervelle et de l’étaler sur les murs de cette taverne, mais je me retins et je lui ordonnais de déguerpir. Je rangeais mon arme et tendais la chope à la belle que j’avais si je puis dire sauvé de ce malotru, tout en me présentant et lui annonçant que la personne ne viendrait pu l’importuner. J’avais toute fois demandé si je pouvais me joindre à sa table et avait employé un ton assez amicale, voir à la limite du charmeur. Cela devait s’être surtout senti, vu comment je l’avais surnommée.

La femme avec qui je venais d’engager la conversation rangea sa lame et prit la chope avant de se présenter. Harlow. Un bien joli prénom. Mais ce n’était pas la première fois que je l’entendais. Certains marins l’avaient déjà mentionnée. Une pirate de ce que j’avais pu entendre. Je la vis me faire un sourire extrêmement doux lors de sa réponse, ce qui augmenta sa beauté. Elle était vraiment sublime. Cela ne me surprit guère qu’elle avait l’habitude de ce genre d’individu, mais elle avait apprécié mon aide. Je fis un signe de tête, avant de l’écouter me dire comme quoi je n’étais pas à ma place ici. Mon visage montra une légère surprise et je la regardais me montrer la taverne des yeux en m’annonçant que je n’avais pas ma place ici bas, dans les tréfonds de Port-Royal. Je souris suite à cette phrase et je m’assis en face d’elle, sur une chaise libre avant de lui dire :

- Si vous saviez. Ces vermines, comme vous le dîtes si bien je les connais mieux que personne. Et j’avais envie de me ressourcer dans un lieu qui me manque un peu.

Je pris une gorgée de ma chope avant de continuer :

- Par contre tutoyons-nous. Je ne suis pas à l’aise de ce genre de cérémonie. Mais reprenons depuis le début si ça ne te dérange pas.

J’attendais un peu, pour écouter sa réponse. Puis d’une voix amicale je me présentais :

- Je me présente. Je suis le capitaine James Ollton, mais tu dois me connaître sous un autre nom. Le nom du capitaine Red Flash. Et je suis ravi de faire la connaissance de celle qui paraît être la plus belle pirate des Caraïbes. J’en ai de la chance en tout cas, car les rumeurs sur ta beauté sont tout à fait juste.

Je levais mon verre en sa direction comme pour trinquer à sa santé.


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Mer 8 Juil - 22:29
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« Très bien, monsieur l’ancien pirate, tutoyons-nous. Je ne suis pas une habituée de la haute non plus. »

Harlow sourit en se penchant en avant. Alors c’était un ancien pirate, elle n’aurait pas deviné. Il était mieux habillé que les pirates qu’elle fréquentait, il parlait mieux aussi. La jeune mousse qu’elle était ne traînait pas avec les meilleurs spécimens de la piraterie, il faut dire, c’était peut-être ça. Après tout, n’importe qui pouvait devenir pirate, c’était la beauté de la chose. Mais il n’avait pas l’air abimé pourtant : c’était généralement ce qui les faisait choisir de quitter la piraterie. La maladie, les combats, il y avait beaucoup de façon de perdre la santé sur la mer des Caraïbes. Et encore, certains avaient perdus un bras, un jambe, un œil et ils continuaient toujours à s’engager sur des navires. Mais lui n’avait rien de tout ça, il paraissait en bonne santé. Enfin, allez savoir ce qu’il pouvait cacher sous ses habits.
La question l’absorba un instant, avant qu’elle se prenne à se demander ce qui avait pu le pousser loin de la piraterie et peut-être loin de la mer. Loin de le mer, elle en aurait frissonné d’horreur. C’était en tout cas, un joli mystère qui s’offrait à elle, un mystère qu’elle avait très envie de dévoiler.

Le capitaine Red Flash, oui, oui. Sa bouche s’arrondis un peu. Elle en avait entendu parler, bien sûr qu’elle en avait entendu parler. Mais elle ne pensait pas qu’il était si, hum, jeune, alors qu’elle qui se coltinait un vieux croulant obèse aux tempes grisonnantes. Mais ce n’était pas ça le plus intéressant de l’histoire et qui faisait le plus jaser sur le pont : c’était un corsaire. Harlow n’en savait pas beaucoup plus, elle ne prêtait pas assez d’oreilles aux racontars pour retenir tout ce qui se disait. - Elle ne retenait que les noms de bâtiments prestigieux et ceux de leur capitaine, en espérant un jour être plus que ce qu’elle était à présent – Mais un corsaire, quand même !
Un corsaire qui savait beaucoup trop parlé pour qu’elle s’embarrasse de ces formalités. Il aurait été de la marine royale qu’elle n’aurait pas bougé d’une millimètre de sa chaise.

« Les rumeurs sur ma beauté, répéta-t-elle en trinquant avec lui, ô comme j’aimerais que cela soit suffisant pour faire de moi plus qu’une fille de joie. »

Au moins, s’il ne lui servait pas des mensonges pour l’amadouer, on parlait d’elle. Elle aurait préféré que cela soit pour ces talents à manier le mousquet ou la barre, mais peut-être devait-elle passer par là avant de récolter un peu de gloire. Elle fit descendre du rhum dans sa gorge avant de sa faire taquine – après tout ils savaient déjà tous les deux le nom du jeu auquel ils s’adonnaient.

« Mais je ne devrais pas me plaindre de compliments si bien tournés de la part du Capitaine Red Flash. C’est peut-être dangereux pour ma liberté de mouvement, après tout, nous ne sommes pas dans la même équipe. »
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Jeu 9 Juil - 0:15
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James & Harlow

Une nuit mouvementée


Lorsque je lui proposais de se tutoyer elle accepta avec joie et m’expliqua qu’elle n’était pas de la haute. Cela me fit rire légèrement, bien que je n’en étais pas un non plus. Je la vis se pencher en avant et je pus voir d’un œil bien précis son décolleté. Peut-être l’avait-elle fait exprès, mais une chose est sur la vue était très belle. Je ne savais pas si elle avait vu que j’avais plongé mon regard dedans mais je repris vite contenance pour ne pas finir comme ce pervers de tout à l’heure. Ce fut après cette petite vue sur son corps, que je me présentais à elle. Je ne savais pas vraiment comment elle allait me répondre. Soit elle s’en fichait, soit elle allait partir sans rien dire ou elle allait m’engueuler du fait que je sois devenu corsaire. Beaucoup de monde faisait la dernière option. Elle, elle ne fit qu’un simple geste. Une légère ouverture en rond de sa bouche. Donc elle avait bien entendu parlait de moi. Cela ne me surprit guère. Un confrère pirate qui devenait corsaire, cela posait toujours des problèmes et ça faisait beaucoup parler de lui. Mais elle ne partait pas. Elle restait toujours. Sa tête devait se poser des questions. Peut-être des questions que je n’aimerais pas répondre. Mais ce qui me surprit c’est qu’elle trinqua avec moi et me taquina sur le fait que l’on parlait d’elle mais par rapport à sa beauté. Elle n’avait pas la langue dans sa poche. Je me pris d’amusement à lui répondre :

- Il n’y a pas que sur ta beauté, mais aussi sur ton caractère de bonne femme et que tu vas souvent de navire en navire. Et que tu es assez douée aussi au combat. Mais je dois admettre que ce que j’ai vu chez toi en premier était ta beauté.

Je savais qu’elle était assez bien forte comme femme. D’ailleurs je voulais la complimenter, non pas pour qu’elle me laisse apercevoir un peu plus de son corps, mais juste parce que c’était la vérité. Pas la langue dans sa poche elle m’annonça qu’elle devait se sentir heureuse que moi le capitaine Red Flash lui fasse d’aussi beau compliment. Et elle annonça que sa proximité avec moi risquait de lui attirer des ennuis, vu que nous n’étions pas de la même équipe. Ah vraiment ? Elle voulait jouer à ça ? Et bien elle allait être servie. Je me levais et je lui attrapais la main avant de la tirer vers moi et de la coller contre mon corps. D’un sourire plutôt amusé je lui répondis :

- Depuis quand le danger ne t’excite pas Harlow ? Aurais-tu peur de t’aventurer sur un terrain inconnu ?

J’avais collé ma main dans son dos et je faisais pression pour qu’elle reste collée à moi. Si quelqu’un nous regardait, il pouvait croire que nous allions danser une danse en duo espagnol. Il ne manquait que la musique. Je pris par la suite la main d’Harlow et je déposais un baiser avant de lui dire d’un air de défis :

- Si le danger ne t’effraie pas, viens me rejoindre de ce pas là haut. Je te dirais ce que tu veux savoir et qui sait, nous pourrions en savoir plus sur l’un et l’autre.

Je me dirigeais près du tavernier et lui demandais une chambre. Je déposais plusieurs pièces pour bien me faire comprendre et je me dirigeais par la suite où il m’avait indiqué. Je me retournais et d’un clin d’œil à Harlow je commençais à m’engouffrer dans des escaliers. Puis au bout de quelques mètres je vis la porte de la chambre je l’ouvris et la laissant ouverte je m’engouffrais dedans en attendant la belle rousse qui risquait peut-être de me rejoindre.

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Ven 10 Juil - 0:38
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La demoiselle avait voulu jouer et elle avait joué. Elle ne pensait obtenir une réaction si prompte, si décisive. Elle l’avait sous-estimé. Largement. Mais ô comme elle ne regrettait pas de s’être trompé ! Le capitaine la tenait serré contre lui, juste assez après pour qu’elle puisse sentir son souffle sur sa peau. Elle sentait aussi sa main appuyée contre le dos avec suffisamment de poigne pour que son bassin soit immobilisé contre le sien alors qu’il l’avait attiré subitement. Le souffle lui avait manqué pendant un court instant sous l’effet de la surprise, et de la pression des corps. Mais elle se laissa faire sans opposer aucune résistance, accordant trop de confiance à ce quelqu’un qui pourrait lui prendre la vie. Les bras ballants, Harlow ne se rendit même pas compte que son poignard était resté sur la chaise qu’elle occupait encore une seconde auparavant.
Soudainement, toute la taverne avait disparu autour d’eux. Rien ne comptait plus que le frottement des vêtements, la chaleur qu’elle pouvait sentir à travers sa chemise sans savoir de quels corps elle provenait. Elle l’écouta la provoquer avec un demi-sourire et resta muette. Il n’y avait pas besoin de répondre, le capitaine pouvait très bien voir dans son attitude que les ‘terrains inconnus’ ne l’effrayaient nullement. Juste le temps de chercher son regard et il relâcha la pression qu’il exerçait dans le creux de son dos pour lui embrasser la main.

Il ne la connaissait pas, elle s’en rendit bien compte en l’écoutant la mettre subtilement au défi. Elle ne résistait pas au défi, elle les relevait tous avec le plaisir de celle qui sait qu’elle va réussir. Et celui-là, il n’y avait que de peu de chance qu’elle ne le réussisse pas. Et le mystère était trop attirant pour qu’elle puisse résister une minute de plus. Bien qu’elle n’ait pas vraiment l’intention de le laisser débiter les aventures de sa vie tout de suite.
Ses lèvres brûlaient d’envie de lui dire qu’elle relevait le défi. Mais Harlow se tint muette une minute de plus, sans le lâcher du regard. Sans bouger d’un millimètre, elle vit James payer pour un chambre et si diriger d’un pas tranquille. Ses pas firent craquer les marches de l’escalier. La pirate n’osa pas bouger tant qu’elle entendait ses bottes sur le bois vermoulu.
Lorsque la porte grinça dans ses gongs, elle cligna des yeux et réalisa que le tavernier la fixait de ses petits yeux noirs. Ils lui disaient qu’il savait parfaitement ce qui se passait et qu’il leur donnait sa bénédiction, après tout la chambre était payée. Harlow passa une main dans ses cheveux pour les rejeter en arrière ; une délicieuse douleur la prenait dans le bas ventre. Elle se retourna vers la table et attrapa le verre de rhum qu’elle finit d’un trait avant de grimper dans l’escalier. Tout en enfilant les marches aussi doucement que ces jambes le voulaient bien, les premières agrafes de son chemisier sautèrent. Le temps lui filait entre les doigts, elle ne voulait pas en gâcher une miette.

Devant la porte entrouverte, elle hésita un instant. C’était un corsaire tout de même, allez savoir ce que cela lui amènerait comme problème. Ce n’était pas que la peur la paralysait, elle prenait juste le temps d’apprécier quel genre de soucis allaient arriver avant de sauter à pied joint dedans.
Justement, elle fermait la porte derrière elle avec le pied après s’être glissé dans l’entrebâillement. Au premier instant, le silence fut complet. Harlow fit quelques pas en avant. Ils n’étaient plus séparés que par quelques centimètres. C’est à ce moment qu’elle le vit ouvrir la bouche pour parler. Mais elle n’avait plus envie de discourir maintenant. Les questions qui lui couraient dans la tête pouvait attendre.

« Plus tard » murmura-t-elle avant de l’empêcher de prononcer la moindre parole en scellant ces lèvres sur les siennes et en glissant ses mains dans son cou.

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Ven 10 Juil - 13:00
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James & Harlow

Une nuit mouvementée


Lorsque je l’attrapais par la taille et la collait à moi, elle se laissa faire. Je sentais tout son corps collé au mien et je n’avais pas envie de séparer cette proximité de l’un l’autre. Cette sensation était juste extraordinaire. J’avais envie d’être encore plus proche d’elle. Que nos corps soient collé, mais sans vêtements, ni personne autour. Alors je décidais de la provoquer. Depuis quand le danger n’excitait pas un pirate ? Jamais au grand jamais c’était ce qui nous rendaient parfois prévisible, mais une chose était sur. Ce danger, Harlow allait y plonger la tête la première. Elle me souriait et dans son regard je pouvais remarquer qu’elle était habituée des terrains inconnus et du danger qu’il pouvait y avoir. A regret je lâchais son corps et ne tenait que sa main pour y déposer un baiser volé. Je lui avais proposé de me rejoindre dans un lieu un peu plus privé. Je vis qu’elle allait dire quelque chose, mais elle ne fit rien. Harlow restait sur place. Dieu seul sait ce qu’elle avait dans la tête. Pendant tout le trajet je sentais son regard qui ne me lâchait pas. Dans d’autres circonstances, j’aurai demandé à la personne qui me fixait d’arrêter sur le champ, mais là c’était une tout autre histoire. Je commençais à monter les escaliers et je me retrouvais dans la chambre où la lumière de deux cierges éclairait la pièce. Je restais sur place et attendais.

Je n’eu pas longtemps à attendre, mais je ne l’avais pas entendu arriver. Ce fut à un moment lorsque j’entendis la porte claquer que je me retournais. Je la détaillais des pieds à la tête, et je remarquais que son chemisier était déjà bien ouvert et je pouvais apercevoir sa poitrine sans trop de difficulté, qui était encore légèrement protéger par quelques morceaux de tissus. Harlow s’avance de quelques pas et nous nous retrouvions à quelques centimètres l’un de l’autre. Je sentais son souffle chaud au niveau de ma gorge et je fixais son regard qui montrait bien ce qu’elle avait en tête. Je commençais à ouvrir la bouche pour prendre la parole, mais elle m’en empêcha en me disant que ça serait pour plus tard. Puis elle déposa ses lèvres contre les miennes. Ces lèvres avaient un goût divin que je pourrais rester pendant des heures à les embrasser. Je senti ses mains passer dans mon cou pendant que nos bouches continuaient à être collé et à faire plus ample connaissance. Je passais ma main droite dans ses cheveux pour pouvoir mieux l’observer et je glissais ma main gauche sous ses vêtements afin de caresser son dos de manière douce et sentir la moindre partie de sa peau. Puis sans crier gare je lui ouvris le reste de son chemisier, la mettant ainsi à demi-nue. Je souriais fier de moi, mais je l’avais sous estimé car elle aussi m’avait retiré mon haut. C’était comme un jeu, pour savoir lequel allait dominer l’autre. Mais je n’allais pas m’avouer vaincu. Je me collais encore plus à Harlow et la bloqua contre un mur de la chambre, de là je commençais à lui embrasser le cou, tout en léchant lentement son cou, pendant que ma main descendait le long de son corps afin de lui retirer son bas.

Une fois le bas retiré, je commençais à lui caresser son intimité. A partir de là je descendais ma tête au niveau de sa poitrine pour pouvoir en sucer un sans retenue, tandis que ma main libre malaxait le second. Je la sentais gémir légèrement de plaisir. Au moins j’arrivais à lui faire passer un bon moment. Je continuais ainsi jusqu’à ce qu’elle me retourne pour que ce soit moi qui me retrouvait contre le mur. Je sentais ses baisers me parcourir le corps et je caressais en même temps son corps. Au bout d’un moment je lui attrapais la tête et l’embrassa de nouveau sur la bouche, mais j’y insérais ma langue pour jouer avec la sienne dans sa bouche. Pendant ce temps je la reculais jusqu’à ce qu’on tombe, elle et moi dans le lit, tout les deux nus, l’un contre l’autre. Je sentais chacune de ses parcelles de son corps. Cette sensation était extraordinaire. Mais le désir était extrêmement développé en moi et j’avais envie de nous faire devenir encore plus proche, de la sentir encore plus, j’avais envie que nos intimités se réunissent. Alors sans crier gare, pendant notre baiser enflammé je décidais de rentrer en elle. J’y allais doucement en entrant en elle pour ne pas lui faire mal, et après j’y allais plus rapidement. Nous étions parti pour une bonne heure, voir plus, de plaisir charnel mutuel.


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Jeu 16 Juil - 16:01
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Dés l’instant où elle colla ses lèvres à celles de James, Harlow s’abandonna à la douce torpeur qui grandissait dans son ventre. La réponse à ses avances ne se fit pas attendre et d’autres baisers répondirent aux siens. Elle pouvait sentir son souffle s’infiltrer entre ses lèvres et la remplir de désir et de vapeur de rhum. Depuis la plante des pieds jusqu’à la racine de ses cheveux où elle pouvait sentir une main rude se perdre, elle brûlait. Son chemisier ne fit pas long feu, elle ne se formalisa pas du bouton qui pendait au bout de son fil ou du tissu blanc sur le sol à la couleur douteuse, mais elle ne laissa pas non plus le temps à son partenaire d’admirer ses seins libérés si elle n’avait pas non plus le loisir de le regarder à demi-nu. Son sourire fier de celui qui à le dessus lui donner envie de redoubler d’efforts et faisait grossir la boule dans son bas ventre. C’est qu’ils s’étaient engagés dans un duel fatal où la victoire était aussi une délicieuse chute.
Elle sentit dans son dos le mur de bois brut, il la pressait contre les planches et un drôle d’instinct la faisait basculer ses épaules en arrière. Sa peau blanche tentait désespérément de s’enfoncer dans le mur immuable alors que des lèvres descendaient sur son cou. Ses yeux s’entrouvrirent pour fixer le plafond alors que son corps commençait à se cambrer avec la tension de tous les nerfs de son corps. Elle était totalement à la merci de son adversaire de ce soir, et pour l’instant la rousse se laissait aller à la docilité. Son pantalon glissa le long de ses cuisses, révélant son intimité ; elle n’était plus qu’une femme nue à la merci des mains qui couraient sur sa peau. Harlow ne pensa pas à ce qui pourrait se passer maintenant, ou plutôt elle ne pensa pas ce qui pourrait se passer de mal pour l’instant. Elle doutait que James puisse en faire autant. Ils n’étaient d’un amas de sensations vibrantes. Et puis, elle ne songeait qu’à reprendre le dessus.

Mais son corps se cambra doucement et un gémissement lui échappa des lèvres. La pression qu’il exerçait sur sa poitrine avec ses mains et avec ses lèvres avaient eu raison d’elle. Elle ne pu dans un premier temps qu’enfoncer ses doigts dans son cuir chevelu. Seulement en réponse, elle inversa leur position, profitant de cet avantage pour embrasser chaque centimètre de peau avant de retrouver ses lèvres. Le visage enveloppé dans des mains étrangères, elle se laissa aller à l’ivresse. Alors qu’elle se perdait dans ses baisers, elle bascula en arrière. La chute lui arracha un rire, mais elle ne se laissa distraire. Ses longues jambes crochetèrent la taille qui lui la poussait dans le matelas, pour guider les mouvements de bassin qui rencontraient son intimité. Les va-et-viens continuèrent longtemps, jusqu’à ce que leurs corps se cambrent et leurs nerfs se tendent jusqu’à l’extrême. Harlow s’écarta à l’instant final, avant de retomber mollement sur le matelas.

Le silence s’étira longuement et la nuit avança avant qu’Harlow ne prenne la parole, en faisant la moue :
« Donc, c’est maintenant l’heure de parler, hm ? »
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Jeu 20 Aoû - 13:50
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James & Harlow

Une nuit mouvementée


Cette femme était une vraie sirène. Tellement envoutante, que j’en avais était charmé. Nous venions de passer un moment de pure plaisir. Cette femme c’était quelque chose. La nuit avait avancé et nous étions tout deux dans le lit collé l’un à l’autre sur les draps. Au bout d’un moment de silence, elle m’annonça que c’était le moment de parler tout en faisant la moue. Je tournais la tête dans sa direction et remit une mèche de cheveux qui m’empêchait d’admirer ses yeux. Puis d’une voix pleine de mystère je commençais à dire :

- Mmmm… tu es sure de toi ? Tu n’as pas peur que je sois un danger pour toi si tu en sais trop ?

Je la jouais un peu pour me faire avoir de l’intérêt. Puis j’attendis sa réponse qui j’étais sur allait me faire sourire. Après cela je commençais à raconter mon histoire bien qu’elle n’était pas très intéressante sur mon avis :

- J’étais un fils de marchand à Londres avant, et je rêvais d’aventure en mer, un jour mon père m’a emmené à un voyage vers ce lieu où les pirates sont heureux. Malheureusement une tempête me propulsa hors du navire et je me réveillais plus tard sur une île déserte. Je me voyais déjà mort, quand soudain trois pirates arrivèrent. C’était pour un exil car l’un d’entre eux avait fait une tentative de mutinerie. Mais les autres se sont rebellés et j’avais juste eu le temps de prévenir le capitaine de la supercherie. Il réussit avec brio à tuer ceux qui le menacer et moi par peur j’avais pris le pistolet et j’avais tué l’exilé car il allait me tuer.

Je pris une pause pour jouer avec ses cheveux avant de reprendre :

- Le capitaine décida de me prendre sous son aile. J’avais huit ans. Depuis je n’ai cessé d’être pirate. J’ai réussi à reprendre le flambeau de capitaine à mes dix-huit ans. Le rite de passage n’était pas quelque chose de facile, mais j’ai réussi. J’étais capitaine pendant quatre ans. Quatre ans où la liberté se faisait ressentir, je me sentais vivant. Puis les navires anglais nous ont rattrapés lors d’une course poursuite. Afin d’éviter que mes hommes ne se fasse tuer, j’ai annoncé notre capitulation aux navires adverses. Puis au lieu de la pendaison on me proposa de devenir corsaire, et ils épargneraient mon équipage. J’acceptais sans hésitation pour les protéger. La marine anglaise me donna un avertissement en coulant mon navire. Je l’ai vu sombrer sous les coups des canons.

Ma voix se perdait un peu sous le coup de l’émotion je revoyais encore le navire entrain de couler à pic, sans que je ne puisse rien faire pour le sauver. Je repris vite contenance et en caressant la peau nue et fraiche d’Harlow je repris la parole :

- Puis j’ai reçu un nouveau navire. Et on m’a forcé à avoir à mon bord des gens de la marine, afin que je respecte mes engagements. Cela a duré pendant cinq ans. Et maintenant je suis ici avec une belle rousse flamboyante, je n’ai plus de soldats sur mon pont ou qui me poursuit. Je suis de nouveau maître de mon bâtiment, bien que je sois encore sous la couronne. J’ai tant envie de reprendre la mer, de retrouver ma liberté. Tu dois bien comprendre ça toi, non ?

Je caressais son visage et attendais une réponse.



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